jeudi 27 novembre 2014

Vocation: Cheerleading


En classe hier, j’ai regardé une vidéo sur une école secondaire au Québec. Le Québec constitue un lieu unique en terre d’Amérique. Unique en raison de sa géographie, de son histoire et de sa culture, qui ont forgé son identité teintée d’effervescence et d’audace. Le Québec, c’est une cordialité toute simple, une authenticité sans compromis et l’intensité à portée de main! 

C’était vraiment intéressant de voir comment leurs vies sont différentes. Ils peuvent le faire « cheerleading » comme un élective!

Qu’ils aiment faire cheerleading car il combine à la fois la danse et la gymnastique. Mais pour être un cheerleader, vous devez avoir la persévérance, la motivation, la rigueur, la force et l'esprit d'équipe ! En 2011 ils ont gagné la compétition appelée adrénaline.

mercredi 26 novembre 2014

Open Sapce: stress et fatigue


En classe le lundi, nous avons regardé une vidéo sur « open space » après avoir lu le texte.
Les « open space » représentent-il un danger pour la santé ?
Selon un récent sondage Ipsos, 54% des personnes qui travaillent en lieux décloisonnés souffrent de nuisances sonores, entraînant fatigue, irritabilité et migraines.
Aujourd'hui, la moitié des bureaux en entreprise sont des bureaux paysagés, et cela en raison du gain de place qu'ils permettent.
Cette économie semble préjudiciable à la qualité du travail et donc à la santé.
Les Inconvénients:
  • Fatigue
  • Bruits
  • Standardisé
  • Intimité réduite
  • Peu d’espace privé

lundi 24 novembre 2014

Open space, y a encore du boulot


Les espaces sans cloisons ne sont pas la panacée annoncée.Usé de devoir inventer des stratégies rocambolesques pour s’échapper du boulot avant la nuit sans qu’un collègue ne lance : Sale nouvelle : l’open space, cet espace de travail sans cloisons, a encore de beaux jours devant lui. 

Pourtant, Actineo, une association regroupant les entreprises de l’aménagement de bureau, a tenu récemment un débat au titre provocateur. Sans doute s’agissait-il de surfer sur le succès du livre L’Open space m’a tuer , écrit par deux consultants, Alexandre des Isnards et Thomas Zuber, écœurés par leur environnement de travail. Le livre fait de l’open space le symbole du néomanagement faussement transparent, faussement décomplexé. 

Alors que 60 % des entreprises françaises se sont mises à l’open space, selon Actineo, les bénéfices pour l’entreprise n’ont toujours pas été prouvés, au-delà du feeling des managers, pour la plupart persuadés que leurs équipes ont gagné en efficacité. Tout dépend du secteur d’activité ou de l’âge des salariés concernés. A se demander si le choix de l’open space n’est pas d’abord une question d’immobilier,selon Actineo, il permettrait d’économiser de 10 à 40 % de mètres carrés et d’idéologie. 

L’open space améliore la communication : c’est sûr, on parle plus à son collègue sur un plateau que d’un bureau fermé à l’autre. On hurle plus aussi. Et puis quitte à communiquer, pas bégueule, on communique aussi son stress. C’est ce qu’on appelle «l’effet cocktail». Tout le monde parle plus fort car personne ne s’entend. Davantage d’échanges, certes, mais pas de meilleure qualité. 

L’open space efface les barrières hiérarchiques : un bureau près du couloir ? Vous êtes un stagiaire. Dos à une fenêtre ? Bravo, pour votre promotion. . On y lit pourtant très bien les liens hiérarchiques. AVF Sodexo a déménagé cette année. Le projet a été présenté lors du débat Actineo. L’entreprise a consulté les 450 salariés concernés : ils devaient passer de trente ans de bureaux cloisonnés, à un «full open space».

L’open space permet de mieux surveiller : c’est la grande réussite de l’open space. Quand ce n’est pas le chef qui jette un œil sur votre écran ce sont les collègues qui s’en chargent . «L’autosurveillance, c’est économique et très efficace, estime Alexandre des Isnards. Vous avez une conversation avec un client dans un anglais approximatif et le collègue pense : "Dire qu’elle avait mis anglais courant sur son CV…"
Mais le tout-transparence peut se retourner contre ses promoteurs. 

mercredi 19 novembre 2014

Pensez-vous qu'il existe un profil idéal pour devenir entrepreneur?

Oui, je pense qu'il y a un profil idéal. Je vais maintenant vous expliquer pour quelles raisons je pense cela en vous donnant 3 idées accompagnées d'exemples.

Tout d'abord il faut réfléchir au portrait d'un entrepreneur. Le portrait idéal d'un entrepreneur se compose de beaucoup de différentes qualités.
  • L'âge idéal pour entreprendre se situe entre la trentaine et la quarantaine.
  • Nous pouvons également remarquer que de nombreux entrepreneurs sont issus de parents eux même entrepreneurs.
  • La plupart des créateurs sont mariés, l'époux jouant souvent un rôle déterminant dans le développement de l'entreprise.
  • La principale motivation est le désir d'indépendance.
  • L'entrepreneur doit savoir prendre des risques, mais des risques calculés.

Ensuite, il y a la compréhension des dix règles d'or du créateur. Je vais vous en expliquer 3, qui sont pour moi les meilleures : 
  1. Minimiser les Risques: les entrepreneurs qui réussissent sont des professionnels qui savent analyser et limiter les risques inhérents à leur projet.
  2. Créer Selon ses Moyens: le projet de création doit être adapté aux moyens financiers dont on peut disposer. Les primes et les subventions à la création d'entreprises, les incitations diverses ne peuvent être que marginales dans le projet. L'appel à la sous-traitance apporte la souplesse nécessaire.
  3. Éviter les Investissements Improductifs: il vaut mieux investir dans le commercial ou la recherche que dans les terrains ou les murs.

Maintenant, je vais parler de mes propres expériences. L'année dernière, ma sœur a ouvert sa propre entreprise. Elle est esthéticienne. Elle n'a pas fait de recherche pour son entreprise si elle a pris un risque énorme! Malheureusement, l'entreprise a échoué. J’ai appris de ses erreurs. Il est essentiel de rechercher à propres de sa première idée!

Pour conclure, il est important d'avoir le portrait idéal d'un entrepreneur et connaître les dix règles d'or! Alors pensez-vous que vous avez les qualités pour être un entrepreneur?

mercredi 12 novembre 2014

Ressources Humaines



Comme le titre l'indique, le sujet du film est le lieu de travail et les difficultés personnelles qui résultent de conflits entre la direction et les syndicats, les entreprises et les particuliers.

Le film raconte l'histoire de "bon fils" Franck, qui retourne dans sa ville natale pour faire un stage de gestion de stagiaire dans le département des ressources humaines de l'usine où son anxiété, père taciturne a travaillé pendant 30 ans. Au début, Franck est salué par les amis et la famille pour briser le plafond de verre et de devenir «en col blanc». Mais très vite, l'envie cachée et rivalités éclatent. Franck se lie d'amitié avec Alain, un jeune travailleur que son père a été le mentor. Ce mentorat dans le marché du travail des cols bleus est en contraste avec la confiance moins mentorat cagier, Franck reçoit dans le monde des cols blancs de son propre superviseur, Chambon.

Franck découvre que son patron va utiliser l'étude sur le terrain de Franck sur le projet de 35 heures pour justifier la réduction des effectifs - et que le père de Franck est parmi ceux à se laisser aller. Cela conduit à une confrontation entre le stagiaire et la gestion, entre les travailleurs et les propriétaires, et, finalement, entre le fils et le père. Dans le climax émotionnel, Franck affronte son père et l'accuse de lui insufflant un héritage de honte à être cols bleus.

Embauche des cadres: les jeunes diplômés n'entrevoient pas la reprise


En classe le lundi, nous avons examiné un article appelé «Embauche des cadres». Si l'économie française est sortie de la récession, la convalescence se fait attendre sur le marché de l'emploi des cadres. Selon la dernière note de conjoncture de l'Apec (Agence pour l'emploi des cadres) publiée hier, seulement « 46 % des entreprises interrogées ont recruté un cadre au cours du troisième trimestre 2009 ». Eric Verhaeghe, président de l'Apec, évoque à ce titre « un chiffre plutôt rassurant »,mais souligne que « la plupart des secteurs restent mal orientés ».

Certains, comme l'ingénierie-R&D et la construction, « donnent quelques signaux de reprise ». Si l'Apec peine à expliquer le regain d'optimisme dans le premier secteur, « la construction est portée par le plan de relance et d'importants projets d'infrastructure ». Avec un bémol : si, dans ce secteur, plus d'une entreprise sur deux a recruté au troisième trimestre (59 %). La banque-assurance et l'informatique sont « également en repli par rapport à la situation favorable qui prévalait les années précédentes »,note l'Apec, à des niveaux qui restent « relativement élevés » : 61 % des entreprises de ce secteur ont embauché au troisième trimestre 2009 et 58 % envisagent de le faire au prochain.

Certaines catégories de cadres sont plus touchées que d'autres, à l'instar des jeunes diplômés et de ceux ayant une expérience professionnelle peu importante. .« Seules 23 % des entreprises qui ont l'intention de recruter au prochain trimestre prévoient d'embaucher des jeunes diplômés contre 43 % l'an passé »Alors que fin 2008 une entreprise sur quatre (23 %) envisageait de recruter de tels profils, la proportion atteint désormais un tiers.
 

mercredi 5 novembre 2014

Dossier: Les grandes écoles de commerces inabordables?


Nous avons aussi regardé une vidéo sur les grandes écoles et aux trois grands politiciens : François Hollande, Jean-Louis Borloo et Valérie Pécresse. Ces politiciens sont allés à HEC (Haute École d’Administration) et ont tous obtenu un diplôme. Le prix d'aller à une grande école est indiqué ci-dessous :
  • ·    HEC= 11900€
  • ·   ESSEC= 9500€
  • ·  ESCP= 9400€

En l’EMLyon il y a un amphi de 500 places qui accueille régulièrement des chefs d’entreprises dont Carlos Ghosn (PDG de Coca-Cola).
Par la cour des comptes dans un rapport récent frais d’inscription trop haute élevé mixité sociale insuffisante les grandes écoles dans le collimateur dossier signé.
À la sortie des grandes écoles plus de 80% des étudiants ont du travail mais ils ne bénéficient pas encore de la puissance du réseau des écoles privées.

Pour conclure, comment vous réussirez dépend du réseau de personnes que vous connaissez comme PDG et des politiciens. 

Les Grandes Écoles


En classe aujourd'hui nous avons dû faire une affiche sur un article sur les grandes écoles. J’étais dans un groupe avec Robyn et Ellena. Les principaux points de l'article sont: 
  • En France seulement 5% des jeunes Français ont accès aux grandes écoles.
  • Deux institutions dominent : L’École polytechnique et l’ENA.
  • Une étude récente révèle que parmi les 546 dirigeants dont le parcours a été examiné, 84% sont issus des grandes écoles et particulièrement de trois établissements- L’École polytechnique, ENA et HEC.
  • En politique, le schéma est similaire.
  • La présidence Hollande n’a rien d’extraordinaire : ces quarante dernières années, les énarques et les polytechniciens ont imposé leur présence dominante et permanente aussi bien  à l’Elysée qu’à Matignon, quelle que soit la couleur politique du pouvoir.
  • Aux États-Unis, les universités prestigieuses acceptent vingt-quatre mille étudiants de premier cycle tous les ans (cinquante fois plus nos Grandes Écoles !!)
  • Il existe aussi une discrimination majeure au sein du système français en faveur de l’élite : la façon dont l’État répartit les financements pour l’éducation.

mardi 4 novembre 2014

Mes vacances d'Halloween


Pendant mes vacances d’Halloween, je suis resté à la maison parce que je suis très fatigué car je passe environ 20 heures par semaine  à l'université voyageant chaque semaine. J’ai passé du temps avec ma famille et mon petit ami. Je suis allé au cinéma avec mon petit ami pour voir le film "Gone Girl". Il était très bon. Son genre est thriller. Lorsque le film est terminé, nous sommes allés pour le dîner.

J’ai fait un peu de révision de la gestion des opérations et de la créativité, de l'innovation et de l'entrepreneuriat. Lorsque je l'avais fini, j’ai pris ma chienne Pixie pour une promenade.


Le soir de l'Halloween, je suis allé à la maison de mon frère pour voir ma nièce et neveu habillés dans leurs costumes. Ma nièce était Shayna Elsa de "Frozen" et mon neveu Noah était un "Ghostbuster".